L'histoire
Une formidable aventure humaine avec les artistes,
une passion partagée avec le public à travers les œuvres
Consacrée à l’art en tant que synonyme de création pure, inventivité, liberté d’être et de pensée, la Galerie Otéro est née d’une histoire d’amour, autour de l’art et des artistes.
Fondée en 1999 par Jacques et Maria, place du Tilleul, la galerie est très vite perçue comme « autre ». D’emblée, elle choisit de promouvoir des artistes « vrais », qu’ils soient d’hier (art brut) ou d’aujourd’hui (art singulier et contemporain). Des artistes qui ont tous en commun l’honnêteté intellectuelle, la sensibilité et la créativité évolutive. Un art libre. Au-delà des codes esthétiques et culturels. Ses choix ? Fondés sur des coups de cœur, mais aussi un intérêt voué aux artistes eux-mêmes.
Depuis mars 2019, la galerie poursuit ses activités au 81 de la rue Grande.
Dans un espace chaleureux, Maria présente des peintures et sculptures d’artistes qui la touchent et qu’elle admire pour leur talent et grande sensibilité.
Passionnée depuis son plus jeune âge par la création sous toutes ses formes, sa sensibilité s’oriente vers des expressions très libres, non conformistes, l’oeuvre dans toute sa dimension créatrice. Ce qui prévaut, c’est l’émotion transmise, une énergie qui se ressent et n’a besoin de rien pour être interceptée, ni de discours, ni de notice explicative.
« Je ne crois pas que l’on puisse parler de la peinture autrement qu’avec son coeur »… et c’est à travers l’écoute, l’échange, les représentations et les ressentis de l’autre, que Maria partage sa sensibilité et son amour de l’art avec le public.
La galerie
Dès qu’on pénètre à l’intérieur, ce qui prédomine, c’est l’esprit qui y règne. Dans la diversité des œuvres présentées, prévaut l’évidence d’un fil conducteur, un fil tissé plus ou moins consciemment. Une cohésion paradoxale, qui se bâti sur la différence et engendre cependant l’unité. Comme l’a dit Cérès Franco : « Le lien entre toutes ces œuvres, c’est moi ». Tout passe par le regard, une émotion suscitée par une forme, une couleur, le lieu…
Un lieu où l’art et la vie se sont intimement mêlés…
« L’art ne vient pas coucher dans les lits qu’on a faits pour lui ; il se sauve aussitôt qu’on prononce son nom : ce qu’il aime, c’est l’incognito. Ses meilleurs moments sont quand il oublie comment il s’appelle. »
— Jean Dubuffet.
« Sois proche de tes émotions, de tes sensations et de ta folie imaginative. Essaye de copier fidèlement tout ce qui se passe à l’intérieur de toi… »
— Conseils à un jeune peintre, de Mario CHICHORRO (Perpignan, 1970).